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www.jacqueline.salenson.fr

fin de vie : droit à la mort volontaire accompagnée par un médecin pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'IVV = interruption volontaire de vie , lorsque la mort s'annonce

aider à mourir? non pour le pouvoir du sexe mâle contre les sorcières femelles???

"sorcières, la puissance invaincue des femmes": livre

https://www.editionsladecouverte.fr/catalogue/index-Sorci__res-9782355221224.html

Mona CHOLLET

Qu’elles vendent des grimoires sur Etsy, postent des photos de leur autel orné de cristaux sur Instagram ou se rassemblent pour jeter des sorts à Donald Trump, les sorcières sont partout. Davantage encore que leurs aînées des années 1970, les féministes actuelles semblent hantées par cette figure. La sorcière est à la fois la victime absolue, celle pour qui on réclame justice, et la rebelle obstinée, insaisissable.

Mais qui étaient au juste celles qui, dans l’Europe de la Renaissance, ont été accusées de sorcellerie ?

Quels types de femme ces siècles de terreur ont-ils censurés, éliminés, réprimés ?
Ce livre en explore trois et examine ce qu’il en reste aujourd’hui, dans nos préjugés et nos représentations : la femme indépendante — puisque les veuves et les célibataires furent particulièrement visées ; la femme sans enfant — puisque l’époque des chasses a marqué la fin de la tolérance pour celles qui prétendaient contrôler leur fécondité ; et la femme âgée – devenue, et restée depuis, un objet d’horreur.
Enfin, il sera aussi question de
la vision du monde que la traque des sorcières a servi à promouvoir, du rapport guerrier qui s’est développé alors tant à l’égard des femmes que de la nature : une double malédiction qui reste à lever.

Ma dernière lecture: je vous la conseille !

très impressionnée par la découverte des liens entre la médecin moderne et ces soi-disant sorcières qui étaient sage-femmes, guérisseuses, herboristes, et auxquelles on a interdit d’exercer, pour développer une médecine soi-disant rationnelle (sans coeur ni âme, découpant le corps en morceaux : organes et autres) , alliée à la chimie et à la domination masculine:

la médecine « moderne » occidentale, soi-disant « scientifique » a été réservée aux hommes et interdite aux femmes!

Alors que nos grands mères savaient encore les méthodes de « bonnes femmes «  très utiles et efficaces pour les maladies courantes.

Des siècles d’élimination de ces femmes « savantes » pour imposer une loi masculine !

Je dirai plutôt que la puissance des femmes a été vaincue pendant de trop longs siècles en Occident… par des meurtres sans précédent, avec tortures préalables.

Depuis quelques années seulement, les femmes reprennent en partie ce pouvoir avec l’égalité théorique des possiblités d’études et de métier, bien que la proportion de femmes soit très supérieure dans les métiers para-médicaux « inférieurs » tant dans la hiérarchie que dans les salaires ou revenusà celle des médecins et surtout des spécialistes et grands professeurs, rarement de sexe féminin.

La bataille contre cette médecine occidentale qui veut nous imposer son pouvoir sur nos vies va de pair avec la lutte des femmes pour leur reconnaissance en tant qu’être humain, tout simplement, tout aussi capable et intelligent que les autres, indépendamment du sexe ou du genre.

N’oublions pas que les problèmes de fin de vie difficiles concernent avant tout les femmes, alors que ce sont les hommes qui font les lois (en majorité) .

L’interdiction d’aider à mourir vient d’abord du pouvoir du sexe mâle.


 

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