28 Mai 2020
dès lors que la vie n’est plus que survie de souffrances et qu’ils demandent à la médecine de l’aide pour une mort douce et rapide ?
IL FAUT CHANGER LES LOIS
DE SANTE (droits des malades et de la fin de vie, discrimination intolérable entre les différents patients ! comme si la fin de la vie était une période dont on connaît le début, ce qui est faux, mais on en profite pour retirer aux personnes dites fragiles la liberté de gérer leur vie… )
DE NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER
LOI définissant le meurtre et l’assassinat :
seule la France condamne sur l’intention et pas sur les actes (tentative de … ratée ou réussie )… mais qui est dans la pensée d’un humain pour savoir l’intention ? Personne…
VOILÀ BIENTÔT 40 ANS QUE DES ASSOCIATIONS SE BATTENT POUR QUE LES PATIENTS DÉCIDENT DE LEUR SORT, vie prolongée ou mort plus rapide, souffrances acceptées ou refusées, soins acceptés ou refusés…
ET QUE NOTRE MÉDECINE OFFICIELLE (SYSTÈME DE SANTÉ) REFUSE LA LIBERTÉ DU PATIENT !!!
on tolère qu’un patient refuse des soins, quoique on veut le punir de cette liberté osée… la plupart du temps…
mais on n’a toujours pas le droit de décider de sa mort sauf suicide solitaire et le plus souvent violent faute de savoir comment faire autrement…
le suicide n’est toujours pas réellement accepté, même chez ceux qui ont déjà longtemps vécu… on fait tout pour l’empêcher..
pourtant le suicide a été promis liberté et droit de l’Homme depuis la révolution 1789 en France.
Suicide toujours condamné par les églises comme blasphème…
QUI SONT CES MÉDECINS QUI VEULENT LA VIE À N’IMPORTE QUEL PRIX ?
La souffrance pour les vieux, négligés mais maintenus en vie
De l’argent gagné pour la médecine, les soignants, les ehpad…
des dépenses importantes pour la collectivité…
Des bourreaux dignes des nazis ? Ou des peureux qui n’osent pas aller au-delà de la loi ? Car il est vrai que s’ils franchissent la ligne de la loi ils risquent leur travail et beaucoup d’ennuis… certains le font discrètement en espérant ne pas être dénoncés, mais on comprend aussi les médecins qui refusent, peur de procès, peur de perdre leur travail… la délation étant très à la mode… retour de la pire période de l’histoire récente…
Hélène Wuillemin (Meurthe et Moselle, journal Est républicain du 27 mai 2020)
a 100 ans passés, pas « malade » au sens médical du terme mais
perte d’audition sensible
perte de la vue, pas aveugle tout à faite mais…
souffrance dues aux séquelles de 5 fractures !
une hanche qui ne fonctionne plus et ne lui permet plus de marcher normalement mais on n’opère plus à son âge… (quoique … on a opéré ma mère à 98 ans… ensuite on l’a réanimée et maintenue en vie 3 ans avec le cerveau qui ne fonctionnait plus… )
souffrances mal soulagées par la morphine qui par contre l’a menée à l’hôpital, trop malade de ce médicament, pas assez pour mourir… cannabis refusé.
on peut comprendre qu’elle pense avoir assez vécu et demande la mort pour point final.
Elle n’ose pas se suicider, ne sachant pas comment faire pour ne pas se rater ni souffrir… comme beaucoup de gens.
en Suisse on lui a refusé le suicide assisté (curieux ? ) mais çà coûte cher…
en Belgique on lui refuse l’euthanasie … peut-être simplement faute de disponibilités et elle n’est ni suisse ni belge…
Qui l’a aidée à monter ses dossiers ? Le journaliste ne le dit pas.
Alors elle décide de ne plus manger, bon moyen de mourir, mais çà peut durer longtemps… plusieurs mois, et la faire souffrir… (on a vite des escarres très douloureux… : ma grand-mère a tenu 5 mois comme çà… l’horreur, le corps qui pourrit alors qu’elle était encore vivante et avait encore toute sa tête… )
Alors qu’on autorise les médecins de soins palliatifs à donner du ryvotril pour ceux qui sont malades du covid pour qu’ils meurent vite et sans souffrir,
mais sur décision du médecin, pas du patient !!!
on refuse à cette dame l'aide qu’elle réclame pour une mort digne d'elle même :
s’endormir et ne pas se réveiller, pouvoir dire adieu à ses proches auparavant.
POURQUOI ?