26 Mars 2022
Depuis son lancement en 2013, le projet est soutenu par la Fondation pour l’Évangélisation par les Médias (FEM), créée à Rome en 2011, présidée aujourd’hui par S.A.S le Prince Nikolaus de Liechtenstein, et qui a pour but de promouvoir la présence de L’Église dans les médias.
A partir de juillet 2015, le groupe français Média-Participations est devenu l’Opérateur industriel d’Aleteia. Media-Participations est un groupe multi-médias franco-belge, spécialisé dans l’édition (plus de 40 éditeurs), la presse (10 magazines), la production audiovisuelle et les sites internet. Depuis lors, Aleteia développe une nouvelle stratégie éditoriale, plus centrée sur l’information et le lifestyle. Aleteia a pour ambition de devenir un des dix plus grands sites internet au monde, pour le service du milliard et demi de catholiques qui peuplent notre Terre : pour leur offrir un média digne d’eux et de leur foi.Alateia bénéficie d'un accompagnement du Conseil Pontifical pour les Communications Sociales et du Conseil Pontifical pour la Nouvelle Évangélisation. Son activité éditoriale se développe en ligne avec le Magistère du Pape François, en collaboration avec le Secrétariat pour la Communication du Saint Siège. En outre, des conférences épiscopales, des ordres religieux et des communautés figurent parmi les membres du conseil d’administration de la FEM.
encore un article très orienté sur les soins palliatifs et contre le droit à l'euthanasie...
« La médecine palliative évite les souffrances, pas l’euthanasie ! » un titre choc et mensonger
Evidemment, la mort soulage des souffrances : après la mort, on ne ressent plus rien !
« La mort est simplement le terme de la vie ;
De peines ni de biens elle n'est point suivie :
C'est un asile sûr, c'est la fin de nos maux,
C'est le commencement d'un éternel repos. »
Epître à Mme la duchesse de Bouillon de Guillaume Amfrye, abbé de Chaulieu
« La Mort ne surprend point le sage ;
Il est toujours prêt à partir,
S'étant su lui-même avertir
Du temps où l'on se doit résoudre à ce passage. »
« La mort avait raison. Je voudrais qu'à cet âge
qu'on remercie son hôte, et qu'on fit son paquet ;
Car de combien peut-on retarder le voyage ?
Tu murmures, vieillard ; vois ces jeunes mourir,
Vois-les marcher, vois-les courir
A des morts, il est vrai, glorieuses et belles,
Mais sûres cependant, et quelquefois cruelles. »
La mort et le mourant, Jean de la Fontaine
« Comment donc la mort poserait-elle problème ? Que craindre d'elle ?
Puisque bien et mal résident dans les sensations et que la mort suppose la privation de celles-ci, elle n'est rien pour nous, ni un bien, ni un mal... »
Michel Onfray
Quant aux soins dits palliatifs qu'ils soient en cours ou en fin de vie, ils sont destinés à atténuer les souffrances physiques et morales mais ne garantissent pas la réussite de leur projet. Il est des souffrances physiques et morales incurables.
Extrait de l'article écrit par Aleteia Claire Fourcade, médecin dans un unité de soins palliatifs et présidente de la Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap).
NOTE : Société française d’accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) :
une association très catholique qui ne fait pas partie du système de santé laïque fort heureusement, et qui dénonce avec le Pape toute mort volontaire, quelles qu'en soient les causes, comme offense à leur Dieu, et qui refuse aux autres le droit de penser autrement !
« on mélange avec confusion deux sujets :
les personnes effectivement en fin de vie et qui vont mourir et
les personnes qui veulent mourir pour éviter de souffrir »
NON personne ne confond quoi que ce soit :
Les personnes qui demandent une euthanasie sont toutes des personnes en voie de mourir, dans un avenir plus ou moins proche, condamnées par des maladies incurables ou des suites d'accident à subir une dégradation terrible de leurs facultés et des souffrances incurables avant les derniers jours qu'on nomme agonie.
Je ne connais aucune personne en bonne santé physique et morale qui veuille avancer sa mort, sauf peut-être en temps de guerre, ceux qui préfèrent mourir que de tuer d'autres personnes à la guerre, et qui ne veulent pas être fusillés comme déserteurs.
D'autre part il existe de nombreuses douleurs physiques impossibles à soulager.
Quant aux souffrances morales les médecins n'en tiennent pas compte, trop difficile à mesurer, et on travaille maintenant en médecine avec des chiffres, des protocoles basés sur une norme qui n'existe pas réellement, mais plus avec des humains...
LA LOI ACTUELLE « palliative » préconise une sédation terminale pour déjouer les souffrances de la fin de vie, mais le décret d'application la restreint aux derniers jours d'agonie :
Il faut donc avoir déjà souffert le martyre pour qu'on accède à votre désir d'en finir !
Pour eux la mort se mérite par la souffrance ! On en est encore à la souffrance rédemptrice, malgré les dires ! Encore le moyen âge !
ET en plus, c'est toujours l'équipe médicale qui en décide, pas l'intéressé.e !