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www.jacqueline.salenson.fr

QUESTIONS DE VIE ET DE MORT, DROIT AU SUICIDE ACCOMPAGNE LOIS DU SYSTEME DE SANTÉ QUANT A LA FIN DE LA VIE/ pour que les lois permettent enfin aux médecins de RESPECTER les volontés de tous les citoyens quant à leur vie, leur santé, leur mort, exprimées dans leurs DIRECTIVES ANTICIPEES avec leur PERSONNE DE CONFIANCE nommée par écrit, Y COMPRIS en cas de DEMANDE D'INTERRUPTION DE VIE VOLONTAIRE, en fin de vie, avec "le choix" et "Ultime Liberté"

une note optimiste pour nous : Mme Michelle Meunier a toutefois fait état d'une position divergente, pour que la loi change et permette le choix de leur façon de mourir pour les usagers du système de santé

https://www.senat.fr/notice-rapport/2022/r22-795-notice.html

reprend l'avis des 3 sénatrices, 2 opposantes et 1 Mme Meunier qui est pour que la loi change !

Elles sont toutes contre la méthode de Macron...

(déjà vu dans la revue de presse de juin)

une note optimiste pour nous :

Mme Michelle Meunier a toutefois fait état d'une position divergente,

considérant qu'une aide active à mourir aux critères d'accès raisonnablement stricts est éthiquement possible et complémentaire à une offre élargie de soins palliatifs.

Michelle Meunier, dans la continuité de son rapport sur la proposition de loi « visant à établir

le droit à mourir dans la dignité », considère que la loi actuelle ne permet pas de répondre à

l’ensemble des situations de souffrance identifiées.

Parmi ces situations, on peut citer les maladies neurodégénératives particulièrement graves, telles que la sclérose latérale amyotrophique (SLA), les états pauci-relationnels stables et les maladies

neurodégénératives susceptibles d’occasionner des troubles cognitifs lourds affectant

gravement l’autonomie de la personne, telles que la maladie d’Alzheimer ou certaines

démences. Dans le premier comme le dernier cas, ces pathologies peuvent générer des

souffrances existentielles chez les patients notamment au regard de la perte d’autonomie.

« Je fais le même constat de la nécessité de développer les soins palliatifs pour les rendre accessibles à tous et partout, ce qui est encore loin d’être le cas », convient-elle.

« En revanche, les craintes et les inquiétudes exprimées par mes collègues me paraissent non fondées.

Laisser croire, par exemple, que l’on pourrait demain euthanasier des personnes pour faire des économies me paraît une élucubration. Un chiffon rouge que l’on agite pour faire peur », réagit-elle.

Pour marquer sa différence, l’élue a eu libre cours d’ajouter une partie en fin de rapport où elle expose ses arguments en faveur d’une « ouverture d’un droit à mourir dans la dignité » : 

« Je sais que cette position de la gauche sénatoriale est minoritaire. Cela n’empêchera pas mon groupe de représenter dès l’automne une proposition de loi sans attendre un projet gouvernemental mal engagé », promet-elle.

 

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